Prix du Salon de la Jeune Peinture (1956)

 

Masques & Visages, janvier 1956 :

"Un grand salon ? … Peut-être ! Les années qui vont suivre nous le diront. Les gaillards qui exposent là on rejeté les réserves ou les impuissances de l'abstrait ; il y en a de remarquables ; certains seront peut-être grands. Nous revoyons, pour notre plaisir, souvent passionné, Rebeyrolle, Aberlenc, Taylor, Simone Dat, de Gallard, Bardone, (…), René Genis, (…) Thompson, (…) Montané (…). Vive la jeune Peinture."

René Domergue dans " L'Information" du 13 janvier 1956 :

"Aberlenc, dont une grande composition – Le Marché - tenait bien d’aplomb, entouré de deux remarquables natures mortes, " La Truite ", surtout, a reçu le Prix de la Jeune Peinture décerné par l’ensemble des exposants ; récompense méritée."

" L'Information Artistique " du 5 février 1956 :

"Le peintre René Aberlenc vient d'obtenir le Prix de la Jeune Peinture. C'est un jeune espoir qu'il convient de suivre"

Jean Rollin dans " La République " du 10 février 1956, " Les jeunes peintres ont bien commencé l'année " :

"(…) La Truite" d'Aberlenc, "La truie" d'Autenheimer prouvent également que les jeunes artistes parviennent à une connaissance féconde de leur métier (…)"

G. Charensol dans la " Revue des deux Mondes " du 15 février 1956, " Beaux-Arts. La Jeune Peinture " :

"(…) Cette année le prix du Salon est allé à René Aberlenc qui a envoyé une Truite traitée avec un vigoureux réalisme (…)"

Henri Héraut dans le " Journal de l’Amateur d’Art " :

"Les envois d’Aberlenc sont excellents. Du moins ses deux natures mortes, le coin d’atelier composé de façon rigoureuse, peint solidement, et surtout la truite, d’une intensité tragique."

Exposition de la Jeune Peinture de Paris à la Galerie Marlborough (Londres, 1956)

John Berger dans " New Statesman " (London) du 21 janvier 1956 :

"(…) Here are the unafraid pictures of the future : René Aberlenc’s picture of a Parisian place with a few trees in it, the walls of the delapidated houses weary of proclamations and posters, but, because the space has been so positively established, the stage set for anything, for children playing tick, for Henry Miller’s dogs under the trees, for lovers, for those who will one day restore Paris ; and the same artist’s two canvases of chickens in a yard, combining the lessons of Cubist looking-down perspective, Courbet’s tangibility and Degas‘s eye (…)"