Salon d’Automne (1962)

Raymond Charmet dans "ARTS " du 24 au 30 octobre 1962 :

" Le nu d' Aberlenc modèle sa chair dans la lumière, ... "

Juliette Darle dans " L’Humanité " du premier novembre 1962 :

" N’est pas qui veut peintre de figures, car on ne saurait en ce domaine improviser. Le nu de René Aberlenc s’impose par la vigueur du réalisme, le sens de la couleur, la profondeur sensible "

George Besson dans " Les Lettres Françaises " :

" Je vous en tiens dix en réserve, de Zavaro, Cueco, Garcia-Fons, Aberlenc à Mireille Miailhe, ... "