11e Salon de la Jeune Peinture (1960)

Juliette Darle dans " L’Humanité " du 18 janvier 1960,Le XIe Salon de la Jeune Peinture : celui de l’art vivant " :

" (…) l’art difficile d’organiser un groupe ont inspiré des œuvres remarquables à René Aberlenc, (…), (dont) la "Corrida" (s’impose) par la somptuosité des couleurs… (…) Le paysage de René Aberlenc est d’une grande beauté. La sensibilité du peintre, la vigueur de sa composition s’y expriment admirablement, d’une manière plus libre que dans la "Corrida" (…) ".

Henri Héraut dans " Journal de l’Amateur d’Art " du 25 janvier 1960, " XIe salon de la jeune peinture " :

" (…)  Aberlenc : grand morceau de bravoure espagnole, cependant sérieusement mené (…) "

Henry Asselin dans " Le Courrier d’Afrique – Léopoldville " du 20 mars 1960, " Dans le monde des hésitations et des promesses, coup d’œil sur la jeune peinture française " (également traduit en Portugais dans " Primeiro de Janeiro – Porto " du premier juin 1960) :

" (…) La "Corrida" de René Aberlenc, saisie dans le moment pathétique où le picador reçoit la charge du taureau, est une œuvre maîtresse par la sûreté de la mise en page, des reliefs et de la perspective et par la richesse de la couleur. (…) "